Sécurité routière : les sinistres ne se produisent pas, ils sont causés
12 novembre 2019
Le rôle des assureurs est avant tout de couvrir les risques causés par des sinistres. Que ce soit en RC (dégâts causés aux tiers) ou en Casco (dégâts causés à soi-même), l’assureur encaisse les primes et couvre les frais engendrés par les sinistres annoncés.
L’assureur a également le devoir de sensibiliser les conducteurs sur le bon comportement à adopter sur la route, et ce dans le but de les responsabiliser non seulement sur les risques « visibles » tels que les blessures corporels ou les détériorations des véhicules, mais également sur les dégâts « invisibles » tels que les souffrances psychologiques ou traumatismes suite à un accident de la route.
La flotte du Groupe Alvazzi compte 44 véhicules de tourisme – dont 4 hybrides et 1 électrique – et 137 utilitaires ; soit 171 véhicules qui sillonnent les routes de Suisse romande, soit autant de conducteurs exposés quotidiennement aux dangers liés à la circulation routière. Si les chiffres à fin septembre 2019 relèvent une amélioration en termes de sinistralité, tant par leur nombre que par leurs coûts, il n’en reste pas moins de rester vigilant.
Toutes les personnes susceptibles de conduire un véhicule Alvazzi ont été conviées à participer à une session de sensibilisation organisée en collaboration avec notre assureur Allianz. Elles ont ainsi pu prendre conscience de l’importance du comportement à respecter depuis le moment où on monte dans son véhicule jusqu’au moment de le quitter : toute l’attention doit être exclusivement concentrée sur la route. Se poser les bonnes questions avant de prendre le volant peut permettre à un chauffeur ayant passé une nuit d’insomnie à éviter un carambolage. S’imposer une discipline sécuritaire peut éviter à cette mère de famille d’être définitivement séparée de son enfant en raison de la perte de maîtrise du véhicule de ce conducteur inconscient ayant consommé de l’alcool avant de prendre la route.
De telles situations sont réelles. L’assureur a certes financé les dégâts matériels et les soins médicaux mais rien ne peut éliminer le sentiment de remord, regret, chagrin, traumatisme…qui rongera à long terme les conducteurs responsables de tels sinistres.
Contribuez à réduire les risques routiers : consacrer 10 x 15 secondes par jour pour vous les bonnes questions. Il en va de votre sécurité, celle des autres usagers de la route, des piétons, de vos collègues, de votre famille… Bonne route et n’oubliez pas : ça n’arrive pas qu’aux autres